Plutarque, Oeuvres Morales: Tome II: Traites 10-14. Consolation a Apollonios. - Preceptes de Sante. - Preceptes de Mariage. - Le Banquet Des Sept / Nejlevnější knihy
Plutarque, Oeuvres Morales: Tome II: Traites 10-14. Consolation a Apollonios. - Preceptes de Sante. - Preceptes de Mariage. - Le Banquet Des Sept

Kód: 12536575

Plutarque, Oeuvres Morales: Tome II: Traites 10-14. Consolation a Apollonios. - Preceptes de Sante. - Preceptes de Mariage. - Le Banquet Des Sept

Autor Plutarch, Jean Defradas, Jean Hani

Résumé des traités :CONSOLATION À APPOLONIOSPréambule : le moment propice à une consolationNi insensibilité, ni excès dans la douleurDans le malheur se comporter virilementInconstanceObéir à la raison et se préparer aux vicissitud ... celý popis

1487


Skladem u dodavatele v malém množství
Odesíláme za 10-14 dnů

Potřebujete více kusů?Máte-li zájem o více kusů, prověřte, prosím, nejprve dostupnost titulu na naši zákaznické podpoře.


Přidat mezi přání

Mohlo by se vám také líbit

Dárkový poukaz: Radost zaručena

Objednat dárkový poukazVíce informací

Více informací o knize Plutarque, Oeuvres Morales: Tome II: Traites 10-14. Consolation a Apollonios. - Preceptes de Sante. - Preceptes de Mariage. - Le Banquet Des Sept

Nákupem získáte 149 bodů

Anotace knihy

Résumé des traités :CONSOLATION À APPOLONIOSPréambule : le moment propice à une consolationNi insensibilité, ni excès dans la douleurDans le malheur se comporter virilementInconstanceObéir à la raison et se préparer aux vicissitudes de l'existenceLa mort n’est pas un mal, le cycle du devenirLa sagesse socratique, la mort n’est peut-être qu’un sommeilLa mort nous délivre de l’esclavage du corpsLa mort est la récompense de la piétéLa mort délivre de toutes les peinesLa mort prématuréeLa plus belle vie n’est pas la vie la plus longueSoumission aux dieuxS’affliger est égoïsteLes pleurs ne peuvent pas être éternelsSe préparer à l’infortuneLes excès dans le deuil sont indignes d’un grecLa mort prématurée n’a rien d’affligeantLa vraie façon d’honorer les mortsUn deuil éternel n’est pas raisonnableLa mort est préférable à la vieLa vie nous est seulement prêtéeLes leçons de la sagesse delphiqueAttitude insensée de ceux qui gémissent, méfaits des poètesLa vie est brève, il faut l’utiliser à autre chose qu’à gémirExemples de constance dans le malheurÉloge du défuntLe défunt est entré dans le bonheur éternelMythe platonicien du « Gorgias » sur la vie futureÉpiloguePRÉCEPTES DE SANTÉPréambule : médecine et philosophiePremier conseil : maintenir chaude les extrémitésSecond conseil : s’habituer au régime alimentaire des maladesPrécepte essentiel : la mesureSavoir refuserNe pas manger sans faim ni boire sans soifN’accorder au corps que des plaisirs naturelsLe plaisir même a besoin de la santéIl ne faut pas attendre d’être malade pour être tempérantL’excès favorise la maladieTenir compte des symptômesLe plaisir que procure la nourriture dépend de notre santéContre un régime trop rigoureuxObserver tous les signes prémonitoiresLeçons à tirer de nos amis maladesExercices recommandés aux intellectuelsPréférer les bains chauds aux bains froidsPréceptes concernant la nourriturePréceptes concernant la boissonNobles moyens des intellectuels pour dominer leurs appétitsOccupations appropriées après le repasÉviter vomitifs et purgatifsPas d’abstinences strictes et à dates fixesNi oisiveté ni surmenageMénager le corps sans passer d’un extrême à l’autreIl faut se connaitre et savoir régler soi-même son régimeNécessité de l’harmonie de l’âme et du corpsPRÉCEPTES DE MARIAGEPlutarque à Pollianos et à EurycideDédicace et préludeLe coin, symbole du charme de la jeune épouseL’asperge symbole de l’intimitéÉviter les premiers heurtsLa flamme de la passion doit pénétrer jusqu’à l’âmeNe pas se contenter de la voluptéLa femme ne doit pas rendre l’homme insensé pour le dominerPasiphaé, symbole de la luxureLe mari ne doit pas non plus abaisser sa femmeLa femme ne doit être visible qu’en présence de son mariLa pudeur, gage de l’amourL’harmonie dans le couplePersuader par la douceurNe pas se quereller devant autruiLa femme doit accorder son humeur à celle de son mariL’homme, lui doit associer sa femme à ses plaisirs honnêtesL’homme ne doit pas associer sa femme à ses excèsLe mari inspire ses propres penchants à sa femmeReserve de la femme dans les rapports conjugauxLa femme ne doit avoir que les amis et les dieux de son mariTout doit être commun aux épouxLes amours chastes apportent le bonheur, les autres le malheurLes petits désaccords continuels ruinent la vie communeLes qualités morales, jointes aux autres avantages, rendent la femme invincibleSans les qualités morales, les avantages matériels ne sont rienLa vertu a plus de prix que la beautéLa dignité, vraie parure de la femmeLa dignité doit rester aimableL’excès de gravité vaut toutefois mieux que l’excès de hardiessePrivée de bijoux, la femme préfère rester chez elleLa femme doit cacher ses paroles comme son corpsLa femme ne doit se montrer et parler qu’avec son mariL’homme doit commander, mais avec tendresseLa véritable union est une fusion totaleLa femme ne doit pas nuire à l’affection du mari pour sa mèreLa femme doit s’attirer l’affection de ses beaux-parentsLa femme doit calmer avec douceur les colères du mariLe lit conjugal, terrain de réconciliationLe lit conjugal pour ignorer les querellesLa femme ne doit pas écouter les méchants proposLa femme ne doit pas songer à se séparer de son mariIl ne faut pas souiller le mariage, fécondation sacréeL’homme doit faire régner l’harmonieLe mari ne doit pas exciter la jalousie de sa femmeLa femme, elle, doit éviter se qui irrite son mariLa femme légitime doit briller par ses vertusLe mari doit avoir le plus grand respect pour sa femmePéroraison : Mari et femme doivent s’abstenir d’un luxe excessifLe mari doit se cultiver et instruire sa femmeLa vertu, suprême parure de la femme, lui apporte aussi la gloire et le bonheurLE BANQUET DES SEPTS SAGESPrologueEn route pour le banquetL’arrivée chez PériandreLe banquetPropos sur le gouvernement des ÉtatsLe gouvernement domestiqueLe gouvernement de l’univers : la Providence divineConclusionDE LA SUPERSTITIONSources de l’athéisme et de la superstitionLa superstition ajoute la crainte à l’erreurLa crainte des dieux harcèle l’homme, même dans le sommeilPas de refuge pour le superstitieux, même dans la mortMieux vaut être athée que superstitieux, aveugle que fouLa superstition transforme le bien en malComportements différents de l’athée et du superstitieuxLe superstitieux ne fait qu’aggraver ses mauxDans la joie également, le superstitieux est malheureuxLa superstition plus impie que l’athéismeLe superstitieux, ennemi des dieux est un athée qui n’ose pas l’êtreLa superstition favorise l’athéismeRien n’est pire qu’une religion monstrueuseIl faut rejeter la superstition, non pour l’athéisme mais pour la piété

Parametry knihy

Zařazení knihy Knihy ve francouzštině SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES, LETTRES

1487



Osobní odběr Praha, Brno a 12903 dalších

Copyright ©2008-24 nejlevnejsi-knihy.cz Všechna práva vyhrazenaSoukromíCookies


Můj účet: Přihlásit se
Všechny knihy světa na jednom místě. Navíc za skvělé ceny.

Nákupní košík ( prázdný )

Vyzvednutí v Zásilkovně
zdarma nad 1 499 Kč.

Nacházíte se: